C’est ce qu’on appelle un tour de magie politique. Ce samedi, Tony Abbott a conduit à la victoire sa coalition conservatrice, et devient premier ministre de l’Australie à l’issue des élections législatives.
S’il n’avait pas eu face à lui des travaillistes divisés, cette victoire n’aurait pas été si simple. Dans le passé, il avait même été surnommé « Monsieur Inéligible » par l’un des cadres du parti libéral.
Et en 2007, un ancien ambassadeur américain l’avait aussi critiqué dans une note publiée par WikiLeaks. Il disait que c’était un « homme marqué très à droite et qui polarise » et qu’il avait une « forte propension à se montrer insensible et à provoquer la controverse ».
Pour dire les choses plus clairement, à lire les sorties d’Abbott, on a parfois simplement l’impression d’avoir à fait à un gros beauf. Retour sur lesdites controverses
via Google Translate:
This is called a tower political magic. Saturday, Tony Abbott led to his conservative coalition victory and became prime minister of Australia’s parliamentary elections.
If he had not had to face him Labor divided, this victory would not have been so simple. In the past, he had even been nicknamed
Mr Ineligibleby one of the executives of the Liberal party.And in 2007, a former US ambassador had also criticised in a note published by WikiLeaks. He said it was a
marked man very right and biasesand had astrong tendency to be insensitive and provoke controversy.To put it more clearly, read Abbott outputs, sometimes simply seem to have quite a big redneck. Return on such controversies
— via redwolf.newsvine.com